Janvier-juin 2021
En passant par Brest et le Finistère
en couverture : la Tour Tanguy avant 1940 et après 1970
cliché © Gérard Cissé et coll. Archives de Brest Métropole
196 pages couleurs
Alors que paraissent s’éclaircir les horizons, ce nouveau numéro des Cahiers de l’Iroise montre, qu’en dépit des difficultés rencontrées par toutes les associations durant ces longs mois incertains, la Société d’Études de Brest et du Léon conserve son cap. Promouvoir la richesse et la diversité de l’histoire brestoise et finistérienne, la questionner sans cesse, telle demeure notre finalité. Ainsi, se pencher sur des éléments patrimoniaux aussi emblématiques que sont la Tour Tanguy, ou encore le fameux « Tonnerre de Brest », montre que l’histoire de notre cité du Ponant et du Finistère recèle encore bien des nouveautés. De même, l’étude des itinéraires d’acteurs politiques, économiques et sociaux qui ont contribué à cette histoire en souligne des facettes souvent méconnues. Que d’actions, de destins extraordinaires abordés dans ces pages ! Depuis leur fondation, les Cahiers ont toujours été une invitation à la découverte, ou à la redécouverte, in situ de la ville et de ses environs, comme le montrent différentes contributions de ce numéro. Le présent Cahier, fruit du travail de toute une équipe de bénévoles, perpétue donc le projet et l’action des fondateurs de notre Société née en février 1954.
Dominique Derrien
Président de la Société d'Études
Juillet-décembre 2021
En passant par Brest et le Finistère
en couverture : Hélicoptère NH 90 Caïman de la flottille 33F
en vol stationnaire au-dessus de l’Atlantique
cliché © Marine nationale
238 pages couleurs
LE CHOIX DE LA RÉDACTION
Servir, défendre et protéger… Les thèmes directeurs de ce Cahier de l’Iroise auraient même pu aboutir à un numéro en plusieurs tomes tant les actrices et les acteurs de la défense et de la protection de Brest, de la rade et du littoral sont nombreux. À l’image de ces belles photographies de notre couverture, montrant un hélicoptère de la flottille 33F en vol stationnaire au-dessus de l’Atlantique et (ci-dessus) de membres du CEDRE luttant contre les pollutions marines et littorales, nos services publics, quels qu'en soient les statuts, sont néanmoins à la fois forts et fragiles. Ils réunissent des connaissances et des compétences, malgré un manque de reconnaissance grandissant. Ils ont aussi des coûts humain, financier et même, souvent, personnel. En la matière, doit-on tout quantifier à l’aune de la « performance » et du culte de la statistique ? Le coût financier est objectif mais c’est, par-dessus tout, celui de la liberté, de l’égalité et de la fraternité. Elles n’ont pas de prix.
Dominique Derrien
Président de la Société d'Études